
Une courette de 160 m² avec un magnolia en son centre
Datant de 1890, la maison de maître occupait toute la façade et environ la moitié d’une parcelle avoisinant les 350 m² en plein centre. « Des plafonds de 4 mètres de haut, des étages, des demi-niveaux partout, elle était pleine de charme », la décrit sa propriétaire.
Vue de l’extérieur, on n’imaginait pas qu’à l’arrière, en contrebas, la propriété se prolongeait avec une courette en terre battue, entourée de hauts murs. Rehaussée en son centre par un magnolia quinquagénaire. « Il y a beaucoup de magnolias à Nantes et j’adorais ces arbres. Pour l’anecdote, j’avais dit à mon mari que lorsque nous aurions notre maison, j’en planterai un dans le jardin. Et il était déjà là, il m’attendait… », sourit la jeune femme.
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Datant de 1890, la maison de maître occupait toute la façade et environ la moitié d’une parcelle avoisinant les 350 m² en plein centre. « Des plafonds de 4 mètres de haut, des étages, des demi-niveaux partout, elle était pleine de charme », la décrit sa propriétaire.
Vue de l’extérieur, on n’imaginait pas qu’à l’arrière, en contrebas, la propriété se prolongeait avec une courette en terre battue, entourée de hauts murs. Rehaussée en son centre par un magnolia quinquagénaire. « Il y a beaucoup de magnolias à Nantes et j’adorais ces arbres. Pour l’anecdote, j’avais dit à mon mari que lorsque nous aurions notre maison, j’en planterai un dans le jardin. Et il était déjà là, il m’attendait… », sourit la jeune femme.